H2: DES OLIVIERS DANS LES VIGNES DU BORDELAIS : RÉPONSE À LA SURPRODUCTION ?
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H2: UN VITICULTEUR BORDELAIS PASSE À L’OLIVIER
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H2: LA DIVERSIFICATION FACE À LA CRISE DU VIN BORDELAIS
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H2: LE PLAN D’ARRACHAGE : INSUFFISANT POUR CERTAINS
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H2: L’OLIVIER : UNE PISTE DE DIVERSIFICATION SÉRIEUSE
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H2: BORDEAUX : UNE RÉORIENTATION NÉCESSAIRE
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À Courpiac, un viticulteur bordelais de 38 ans, Thomas Solans, a décidé de planter des oliviers à côté de ses vignes pour diversifier ses sources de revenus et faire face à la surproduction de vin dans la région.
La situation actuelle du marché viticole bordelais est préoccupante, avec une estimation d’un million d’hectolitres de surproduction et des prix en effondrement. Les mesures mises en place, comme le plan de distillation des excédents et la campagne d’arrachage, ne suffisent pas à rassurer les producteurs.
Face à cette crise, la diversification semble être la solution pour s’en sortir économiquement et limiter les risques climatiques. Outre l’olivier, d’autres pistes sont évoquées, comme la création de prairies de fourrage, la production de kiwis, de raisins de table, de houblon ou encore la pratique de l’élevage.
Néanmoins, la diversification ne se fait pas sans investissement financier, avec des coûts qui peuvent s’élever à 50 000 à 80 000 euros par hectare pour certaines productions. De plus, la situation financière et l’âge des viticulteurs peuvent très souvent être des freins à la réorientation de leur exploitation.
Malgré cela, Thomas Solans se montre confiant quant à la réussite de sa diversification, tout en restant conscient des risques économiques et climatiques liés à cette stratégie. Mais il estime que c’est une piste sérieuse pour sortir de la crise et faire face à l’incertitude du marché viticole bordelais.
Coco, le Gorille Gay qui adore faire de la moulaga. 🦍🦍🦍